Emprisonné comme un esclave avec un ballstratcher

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il y a 7 ans

Comme convenu mon Maître devait me livrer pour le WE afin que je sois séquestré nu et enchaîné jusqu’au lendemain soir.

J’ai été livré samedi matin par mon Master, j’étais assis à l’arrière de la voiture, mains menottées dans le dos habillé juste d’un vieux t-shirt blanc et d’un boxer moulant noir, pieds nus.

La clé des menottes était attachée autour du cou à l’aide d’une courte ficelle.

Arrivé en face de la maison, mon Maître est descendu de voiture et est allé sonner, la porte s’est ouverte.

Il est venu m’ouvrir la portière et j’ai marché pieds nus jusqu'à la porte je suis entré et la porte s’est refermée.

A l’intérieur un mec cagoulé tout en cuir m’attendait.

Il m’a directement amené dans un pièce d’où pendaient 2 chaînes du plafond et 2 autres chaînes scellées au sol.

Il a coupé la ficelle autour de mon cou pour prendre la clé des menottes et m’a fixé à la place un collier de chaines.

Il m’a alors fixé aux chevilles et aux poignets des bracelets de cuir, ceci étant fait il m’a ordonné de bien écarter mes jambes et à attachés les bracelets de chevilles aux chaînes scellées dans le sol afin que mes jambes soient écartées au maximum.

Il m’a ensuite enlevée les menottes des poignets pour m’attacher les poignets aux chaînes pendant du plafond. J’étais ainsi bien écartelé debout à sa merci.

Histoire de me faire un peu greuler, il m’a prit le paquet dans sa main droite et à serrer jusqu'à ce que je gueule tout cela en ricanant j’avais bien compris que maintenant j’étais sa chose jusqu’au lendemain soir.

Il prit alors un couteau et en quelques coups me déchira mon T-shirt et mon boxer, me laissant totalement à poil devant lui. Il est alors parti prendre un rasoir et de la mousse et m’a rasé le torse, sous les aisselles, les couilles, la queue et le cul…

Ainsi bien rasé il appliqua sur les parties rasées un produit bien piquant. Il me détacha en commencent par les poignets qu’ils me rattacha directement derrière le dos. Il me détacha ensuite les chevilles et me fixa aux chevilles de très lourds fers reliés par une grosse et lourde chaîne. Il me fit alors descendre à la cave où m’attendait un cachot vieux style fermé par une grande grille rouillée maintenue fermée par une chaîne et un cadenas.

Il ouvrit le cadenas à l’aide d’une clé, fit glissé la chaîne et ouvrit le grille, nous entrons dans le cachot, une petite ampoule me permet de voir où j’allais passer les prochaines heures.

Le sol était en terre battue humide et froid sous mes pieds nus avec pas mal de grava pas ci par là au fond se trouvait une petite cage en fer, je pariais qu’a un moment ou l’autre de mon séjour j’y serais enfermé…

Il attacha ensuite une série de lourdes chaînes rouillées à mon collier de chaînes et attacha le tout à la grille m’empêchant ainsi de m’éloigner de la grille de plus de 2 mètres.

Il me fixa alors aux couilles un large et lourd ballstrecher en acier divisé en 2 partie qu’il referma à l’aide d’une visse et d’un tournevis.

Mes couilles étaient coincées la dedans bien étirées par la largeur mais aussi par le poids du ballstrecher.

Il me plaçât ensuite sur la tête un masque de cuir qui m’aveuglait (je voyais juste un halo de lumière) et qui était munit d’un bâillon boule qui me réduisait au silence en me maintenant la bouche ouverte.

Il me laissât ainsi debout, sorti et j’entendis la grille se refermer ainsi que la chaîne et le cadenas refermant bien la grille, le mince halo de lumière disparu, il avait éteint la lumière.

C’était le silence total, j’étais là seul dans le noir de mon cachot, entièrement nu, enchaîné, pouvant à peine bouger, muet et salivant, les couilles étirées et endolories.

Je suis resté debout un bon moment, j’avais froid, nu dans cette cave humide.

La fatigue fini par me faire mettre à croupit et puis m’asseoir à terre bien que cette position me torturai les couilles qui étaient pressée entre le ballstrecher et le sol, mes mains étant attachées derrières, je ne pouvais les soulager qua l’aide de mes pieds…

Je n’avais déjà plus aucune notion du temps, je ne savais pas depuis combien de temps et pour combien de temps j’étais ainsi…

La boule dans la bouche me faisait saliver énormément et je bavais sur mon torse, sexe, jambes et pieds…

Après un bon moment j’entendis une porte et quelqu’un qui descendait, je me mis debout et j’ai vu le halo de lumière, j’étais content, j’ai sentis que l’on tirait sur les chaînes et tiré par le cou je fut plaqué sans ménagement torse contre la grille, avec sont autre mains il me malaxa les couilles ce qui me fit gémir dans mon bâillon…

Puis il me dit : « ici tu n’aura rien à bouffer, si tu veux boire quelques choses avant demain soir tu as intérêt à pisser dans ce flacon, je le mettrai au frais et te le ferai boire ce soir avant de te mettre en cage pour la nuit » il me prit la queue et la plaça dans le boulot d’un flacon et j’ai pissé tout ce que je pouvais car je savais que je n’aurai que ça à boire jusqu’au lendemain soir. Une fois le dernier jet d’urine entré dans le flacon, il me sorti la bite et reparti en fermant la lumière, après avoir refermé sur mes seins des pinces reliées par une chainette que je sentais sur mon torse.

J’étais à nouveau seul dans le noir, c’était long, je changeais de pose de temps en temps une fois debout, une fois assis, je me suis même couché sur ce sol humide, mes couilles et mes seins me torturaient et me faisaient oubliés le froids de mon cachot.

Après longtemps, il est revenu et il m’a dit qu’il était temps d’aller dormir.

Il entra et me bougeât enfin les pinces de mes seins et mon bâillon boule, ça faisait du bien….

Il me mis le goulot du flacon à la bouche et me versa ma pisse dans la bouche, j’avalais difficilement mais je savais que je n’aurai rien d’autre, la pisse qui débordait de ma bouche me coulait le long du cou, torse, sexe, jambes et enfin pieds…il me vida entièrement le contenu du flacon dans la bouche et mon corps était couvert de pisse également.

Il me détachât les chaînes rouilles rattachées aux chaînes du cou ce qui me permettait de le suivre en traînant mes pieds nus entravés des lourdes chaînes.

Il me graissât le cul et fit entrer un plug qu’il fixa à l’aide d’une fine corde autour du sexe et de la taille pour être sur qu’il resta bien en place.

Il me fit entrer alors dans la cage, elle était petite et dans un premier temps, lorsqu’il referma la porte j’étais assis (sur mon plug) les jambes repliées sur mon torse.

Je n’avais plus mon bâillon, ni mes pinces aux seins, mais conservais ce douloureux ballstrecher aux couilles, mes pieds enchaînés ainsi que mes poignets attachés dans le dos et bien entendu j’avais en prime un plug dans le cul pour au moins la nuit…

Durant toute la nuit j’ai essayé de bouger un peu pour trouver une position un peu confortable mais en vain… je n’avais plus aucune notion du temps quelle heure pouvait-il bien être… d’autant plus que pas moyen de vraiment dormir ainsi.

A un moment je sentis un sceau d’eau glacé atterrir sur le corps, je tremblais de froid, il me fit sortir de la cage et me ramena prêt de la grille, il fixa à nouveau les lourdes chaines à mon collier de chaines, coupa les liens qui maintenait mon plug et me libéra le cul.

Il me fixa à nouveau les pinces aux seins et me donna un grand coup dans les couilles ce qui me fit tomber à genoux, il me fourra à nouveau la boule bâillon dans la bouche et serra bien.

Il me laissât ainsi s a n g loter à genoux dans l’eau du sceau qui avait inondé non seulement la cage mais aussi le cachot en me disant qu’il avait laissé le sceau à l’intérieur prêt de la grille et que si je voulais boire aujourd’hui j’avais intérêt à pisser dedans.

La douleur était intense et je me couchais un moment sur le dos dans la flaque d’eau pour me ravoir.

Je me suis alors mis debout et à l’aide des pieds j’ai cherché le sceau, après l’avoir trouvé j’ai pissé dedans pour m’assurer un minimum de liquide pour la journée.

Après un bon moment de solitude il est venu m’a de nouveau tiré par les chaînes et plaqué torse contre la grille, il a caressé doucement mes couilles et m’a masturbé afin que ma queue soit bien raide et le gland bien dégagé, il a ensuite enduit les couilles, la queue en masturbant bien pour bien étendre d’un produit froid, il m’en à également mit dans le cul en poussant 2 doigt ainsi que sur les seins douloureux après avoir enlevé les pinces.

Si le produit était froid au début, ça se transforma bien vite en une chaleur terrible, je sentais ma queue, mes couilles, mon cul et mes seins brûler, mes gesticulations le faisait rire en me disant que l’effet durerait un bon moment… effectivement.

Lorsque ça commençait à aller mieux il revint et c’est avec un bouquet d’ortie qu’il me flagella le corps en insistant particulièrement sur mes couilles, queue, torse, cul et pieds.

Après il m’enleva le bâillon et me fit boire ma pisse en renversant sur mon corps en me disant que la pisse calmait les piqûres d’orties…

Il me détachât et m’enleva tout, puis me menotta les mains devant, en remontant de la cave la lumière du jour me faisait mal aux yeux et il m’emmena dans une douche, il me fit lever les bras au dessus de la tête et attacha la chaîne de mes menottes à un crochet dans la douche, ainsi maintenu debout torse bien dégagé, je subit une douche froide qui me coupait la respiration. Il m’emmena ensuite dans la première pièce où il m’avait rasé et m’attachât à nouveau en croix debout bien écartelé comme la veille. Il se mit derrière moi et sorti sa queue et placat dessus un préservatif qu’il enduisit de la même subsance brulante (je reconnaissais son odeur caractéristique), il entra sa queue dans mon cul et me baisa ainsi pendant que mon cul était en feu. Après êtes venu, il vint devant moi et enduisit mes couilles et ma queue avec la même substance et me branlat jusqu'à ce que je jouisse.

Après il téléphona à mon Master pour qu’il vienne me chercher, il me détachât et me remis les menottes dans le dos comme à l’arrivée avec les clé autour du cou, mais j’étais à poil (les vêtements avait été détruits) et c’est à genoux jambes écartées que j’ai du attendre l’arrivée de mon Maître, mon Maître était heureux de me voir ainsi nu à genoux mains menottées dans dos.

Il avait amené avec lui un autre t-shirt et un autre boxer moulant.

On me détacha une main pour pouvoir passer le t-shirt puis on referma directement les menottes dessus sécurisant bien mes mains derrière le dos.

Ils m’ont ensuite enfilé le boxer mais avant de me le remonter, ils ont placé sadiquement des feuilles d’orties dans l’entrejambes du boxer, en le remontant ils se sont bien assurés que les feuilles entraient bien en contact avec mes couilles, ma queue et mon cul.

Je souffrais le martyrs mais peut importe mon boxer bien moulant pressait bien les orties sur tout l’entrejambes.

Mon Maître est allé ouvrir la portière arrière de la voiture et à son signe j’ai couru pieds nus, mains menottées dans le dos et me suis engouffré dans la voiture.

A mon retour avant de me libérer mon Maître m’a laissé encore un moment avec les orties dans mon boxer.

Sexlave

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